21 décembre 2008

 

 

Communiqué de presse                                                                           

 

LOGE M’ENTRAIDE CRIE À L’AIDE

 

Loge m’entraide cherche à loger avant Noël 1 femme monoparentale avec 2 enfants âgés de 8 et 12 ans et une autre avec deux enfants âgés de 9 et 15 ans.  Sonia Côté lance un appel à l’aide pour leur trouver un toit d’ici Noël : « Ces dames sont à bout de souffle !  Si un propriétaire privé serait prêt à louer un de ses logements à un moindre coût ou que l’Office municipal de Saguenay octroyait un « Supplément de loyer d’urgence », nous ferions le grand bonheur de ces deux familles, croyez-moi ! ». 

Bureaucratie 

Sonia Côté informe que des interventions ont été faites auprès de l’Office municipal d’habitation de Saguenay.  Dans le cas d’une famille, elle n’a pas droit à un HLM parce qu’elle ne vit pas depuis 1 an à Saguenay et dans l’autre, cette famille aurait droit à un supplément au privé d’après une décision du tribunal de la Régie du logement mais l’Office municipal ne donne pas de suite. 

Mais au-delà de tous ces détails bureaucratiques, Sonia Côté demande de faire preuve de compassion envers ces 2 familles à faible revenu : « Ces  femmes avec enfants sont désespérées et ont extrêmement besoin d’avoir un toit d’ici Noël qui correspond à leur revenu et à leur besoin.  La tension est à son plus haut niveau dans les deux cas !  Dans un, une dame vit chez son ex-conjoint avec ses 2 enfants et dans l’autre, la dame vit chez un ami depuis février 2008, ayant placé ses 2 enfants chez sa sœur en attendant d’avoir un toit sur la tête ». 

Crise du logement 

Bref, Sonia Côté ose croire que cet appel sera entendu et qu’il pourra avoir des répercussions positives avant Noël : « Ce sont deux situations exceptionnelles et je souhaite de tout cœur que ces 2 familles puissent fêter Noël avec leurs deux enfants dans un logement ! ».  Sonia Côté rappelle qui sévit actuellement une crise du logement à Saguenay puisqu’il ne reste que 121 logements sur total de 7675, équivalent à un taux d’inoccupation de 1,6 %, du jamais vu en 20 ans.

 

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