20 août 2003
Communiqué de presse
COOPÉRATIVE D’HABITATION « LA LOGE D’À CÔTÉ »
LOGE M’ENTRAIDE SE FAIT RASSURANT
« Ce projet de coopérative d’habitation suscite beaucoup d’intérêt depuis que nous avons remporté une grande victoire le 27 juin 2003 » s’exclame la coordonnatrice de Loge m’entraide Sonia Côté. Beaucoup de personnes s’informent pour savoir où en est rendu le projet de coopérative d’habitation, ne voyant pas encore les travaux de décontamination débutés » explique Sonia Côté.
Loge m’entraide tient à rassurer la population que les processus suit sont cours normal. « Après la décision du Maire Jean Tremblay de devenir intermédiaire entre la Commission scolaire des Rives du Saguenay et de La loge d’à côté pour que nous obtenions l’école St-Philippe, nous remettions le 30 juin notre demande d’aide financière auprès du Ministère de l’Environnement à Jonquière.
Comme l’indique Sonia Côté : « Le 3 juillet, notre demande a été acceptée et a été immédiatement expédiée au Comité provincial du ministère de l’Environnement à Québec pour une deuxième analyse. Ce n’est que la semaine dernière que le Comité a pris connaissance du dossier, les vacances retardant le processus. Le comité provincial se rencontrera la semaine prochaine et c’est ce n’est qu’après cette date que nous saurons officiellement quand pourra débuter les travaux de décontamination. Actuellement, il n’y a pas de quoi s’inquiéter.
La dérogation est toujours revendiquée
Loge m’entraide tient à dire au gouvernement Libéral et particulièrement à la députée et ministre Françoise Gauthier que la dérogation que nous attendons doit être adoptée le plus vite possible malgré notre victoire: « Même si la bataille est remportée pour « La loge d’à côté » en raison de la décision du Maire Jean Tremblay en faveur de la cause, il n’en demeure pas moins que le projet allait mourir en décembre prochain parce que le gouvernement n’avait pas encore adopté la dérogation nécessaire pour sauver le projet ».
Loge m’entraide affirme qu’il continuera à revendiquer l’adoption de cette dérogation demandée depuis le 14 novembre 2002 afin d’aider d’autres projets qui sont aux prises actuellement avec des problèmes de contamination au Québec. « Nous ne lâcherons tant et aussi longtemps que la dérogation ne sera pas adopté par le Conseil des ministres pour obtenir dans le futur des bâtiments de gré à gré sans devoir passer par un intermédiaire», revendique Sonia Côté.